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Les forces d’occupation israéliennes violent une nouvelle fois l’accord de cessez-le-feu et incendient des maisons dans le Sud-Liban
#israel #palestine #Hamas #Cisjordanie #Gaza #Liban
Article mis en ligne le 16 février 2025

L’occupation israélienne continue de violer sans relâche l’accord de cessez-le-feu avec le Liban, commettant des incendies criminels et se livrant à des violations quotidiennes dans le sud du pays.

Les forces d’occupation israéliennes ont incendié plusieurs maisons dans les villes de Houla et de Mays al-Jabal, dans le sud du Liban, ajoutant à leurs archives une nouvelle violation de l’accord de cessez-le-feu négocié avec le Liban.

L’une des principales exigences de l’accord de cessez-le-feu entre "Israël" et le Liban, qui a pris effet le 27 novembre 2024, était la cessation de toutes les hostilités à l’issue d’une période de 60 jours. Par conséquent, l’occupation israélienne était censée retirer ses forces avant le 26 janvier 2025.

Cependant, la période a été prolongée jusqu’au 18 février. "Israël a maintenu son occupation du Sud-Liban et ses attaques contre les villes du Sud et de l’Est du Liban, en violation de l’accord de cessez-le-feu et de la résolution 1701 des Nations unies.

Actuellement, l’occupation insiste pour rester sur cinq positions à travers le Sud-Liban, affirmant qu’elle a obtenu l’approbation de l’administration américaine, l’une des entités participant au comité de surveillance chargé de superviser le processus de cessez-le-feu.

L’occupation israélienne a également rejeté un plan français visant à accélérer le retrait de ses forces du Liban, selon un rapport publié vendredi par le journal israélien The Jerusalem Post. Le rapport indique que le régime israélien a rejeté la proposition française visant à ce que les forces de maintien de la paix des Nations Unies, y compris les troupes françaises, prennent le contrôle des cinq sites clés du Sud-Liban afin d’assurer le retrait des forces israéliennes avant la date limite du 18 février.

Jeudi, le président du Parlement libanais, Nabih Berri, a réaffirmé que le Liban n’accepterait pas une présence israélienne dans ces cinq endroits et a catégoriquement rejeté toute prolongation du délai de retrait.